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Fleurs de poésie
13 février 2018

Aymer, t'aimer comment est-ce

0099-amour_fervernt

 

 

 

 

Aimer, t’aimer comment est ce ?

Je suis seul dans ton cœur

Il s’affole de mon bonheur

Et je le cisaille, de ma tendresse

 

Corolles d’amour, coulent sereines

De ce fluide,  endémique du rêve

Quand nos  pulsions sans trêve

Répètent leurs gammes, dans nos veines

 

Nos coeurs tissent ces baisers

Ils se faufilent  en dentelles

Sur nos belles lèvres charnelles

Mystère ! D’une fusion embusquée

 

Et ces voyeurs! Nos grands yeux

Se délectent, de nos mille faveurs

Ils ont du bleu, dans leur ferveur

Pour voir le plus profond, de nos jeux

 

Comme une envie, ils se couchent

Tendre sur nos mains  câlines

Elles pressentent, de s’étendre en mimes

Sur nos corps gentillets, qui s’attouchent

¤=

Et nos cheveux, frissonnent  au vent

De nos accords  qui se défrisent

En rythmes pudiques, sur le lit en frises

De nos désirs, délassés du bel  instant

 

Par ces mots, mots d’amour en ivresse

Ils s’épanchent, flammes de nos vœux

Se donner, se tendre le plus merveilleux

Pour  enchanter les pensées de nos sagesses

 

Elles se prennent au piége, de nos timidités

Se regardent au doux miroir, de nos visages

Ils  s’épient rapaces et  subtils envisagent

De fondre silencieux, sur leur proie enchantée

 

De cette conquête, de nos âmes  friandes

De ce bonheur, établissant son auberge

Au grand fond de nos êtres, sur la berge

D’un décor idyllique, de l’amour foudroyant

 

Quand je te prends, que je te serre

Amour de nos amours, de cette présence

Je ressens  la puissance, de nos silences

Nous avons compris, ce bonheur du mystère

 

Nos âmes ne se cachent plus, elles virevoltent

Osmose de  nos corps, qui crachent   sulfureux

Dans leur univers de passion, le rayonnement

De leurs plaisirs, de leurs joies, ils s’envolent

 

Et le passant perdu, repère la trace de la plénitude

Que nous lui  donnons en concert, preuve infaillible

Que nos corps, nos pensées sont en fêtes cessibles

À tous ceux qui nous envient, dans notre béatitude

 

Le temps, le temps ne nous apparient plus

Nous le laissons à la porte, de notre amour éternité

Il nous regarde passionné, conquis à  notre inconscience

Ne plus être de son monde, d’un amour jamais repu

 

Pourrai-je ne plus aimer, on se lie à notre fidélité

Dans notre grande sérénité,  de cueillir nos pensées

Elles rajeunissent au quotidien, notre beauté d’aimer

Nous avons découvert ce qu’est,  aimer dans la félicité.

ƒC

 

 

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