22 mai 2014
Portrait de l'inconnue
Ce doux perdu dans l’immensité De tout temps me regarde patient Dans l’attente sage qu’insolent Il me mande de le découvrir rassuré Son sourire me fige soumis Par cette immobilité ténue Et je me coagule, l’œil perdu Dans la mélodie d’une rêverie Ses yeux...