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Fleurs de poésie
1 décembre 2012

Pensées d'ame

ile_ouessant(gouzoul)

 

 

 

 

 

Tous mes grands us  d’esprit, cherchent de bons terrains

Au chaud des longs chemins, ce  guide  des demain

Le temps

Passe-temps

Le conduit  placide, à ces  carrefours sains

Pour me diriger vif, dans  monde plus humain

 

Je convoite  prêt, les extérieurs

Inconnus mondes, bravant mon intérieur

Je rends

Je surprends

D’un maléfice sourd, l’entente des parieurs

Qui osent m’embarquer, d’un air supérieur

 

A viles   vindictes,  ne réserve l’objet

Pour fatiguer l’air d’un parfum désuet :

Je pends

J’appends

Les titans acharnés, qui d’un œil malaisé

Voudraient là m’emporter, sir des calamités

 

Dans leur ciel ils se vont, chercher opportunistes

La gloire de leurs faits, tuer les alarmistes

Je tends

Je détends

Au gré du temps  fort, des folies intimistes

Quand ils posent  mûre, ma pensée en leur liste

 

Leur présence rêche, irrite mon sort d’âme

Devrais-je ne dire, mon ressenti se pâme

Je sens

Je ressens

Les incertitudes, celle quand je ne rame

Dans l’océan calme, où mon bonheur se trame

 

Aussi avide vais, vers contrées éternelles

Où la paix vaillante, m’offre son naturel

Je prends

Je reprends

Bouffées de concorde, déversant leur appel

A tous ces ceux humbles, qui aime la vie belle

 

A ceux qui ne comprennent, a l’instinct animal

Je ne dis qui ne fut, un regard sentimental

Je mens

Je comprends

Je leur dit ma passion, d’être cet être  mal

De devoir vivre loin, des malheurs en récital

 

Mais cela est certain, les mots de leurs pensées

Je les capte si tôt mon cœur est trop blessé

Le vent

J’apprends

Ses messages ternes, je les lis fort  intrigué

En mon âme saine, les  pleure en sa bonté

 

Je  prends alors armes, la plume se défoule

Les mots les vers riment, le malsain des foules

Je fends

Je défends

L’intégrité pure, un tapis je déroule

Aux pieds de tout pauvre, cherchant  l’or des foules

 

J’offrirai tout ce tout, dont  mon âme à charge

Le bon de tous mes dons, sans que l’on émarge

Je vends

Je consens

La gratuite d’actes, que mon cœur décharge

Du grand fond de sa paix, cris  d’âme à la marge

 

Je me reposerai, victoire du vassal

Sur le mal étendu, aux abords d’in canal

Je zends

Je défends

La morale pure,  se détend amicale

Elle me berce tendre, douceur sentimentale

 

Que mon monde est beau, je resterai toujours

Dans  cette plénitude, que déploient tous les jours

J’attends

Dans le temps

Chaque bonjour  matin, quand  au là je laboure

Tous  ces champs corrompus, refleurissant d’amour

☼ƑƇ

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