31 mars 2014
Par leurs sens furieux
Un flot noir ondulait sur le satin cerise D’un canapé tendre à la nuit advenue La nacre d’un délice fendait l’air ému Léguait douces flagrances qui grisent Dans le jardin privé de mes émotions Une fleur pleurait sa sève malsaine Pétrifiée dans son âcre...