Le temps des catastrophes
Sonnez, alertez trompettes le temps des catastrophes
Voilà que nous détruit l’ouragan, la montée des eaux
Nos terres se désertifient, buvant notre capital eau
Au profit d’une croissance folle qui nous apostrophe
Laissez le progrès, le pur progrès nous conduire
Sur le grand chemin où se dansent les bonheurs
Mais laissez là le profit qui attise tous les malheurs
La sociabilité voudrait enfin au jour se reconstruire
Bonnes gens il fut péril de l’ouragan Katrina
Horrible cause du réchauffement climatique
Fomenté par ces humains du lucre cynique
Décrétant que l’irresponsable pouvoir fructifiera
Savent-ils qu’ils nous font don dans cette image
Des catastrophes inévitables à venir, notre futur
Pouvons nous, nous peuple innocent prendre mesure
De leur égarement et accepter leur insidieux ravage
Quand les éléments seront déchaînés, incontrôlables
Que toutes les ressources naturelles seront décimées
Que l’explosion démographique de la croissance aisée
Ne nous laissera plus d’alternative louable, est-ce pensable !
Aurons-nous suffisamment de nourriture pour nourrir
Toute l’espèce humaine, pourrons nous faire face
A tous ces dommages que nous faisons subir à l’espace
De notre nature qui déjà crie son agonie pour nous fuir
Quand ces êtres de pouvoir prendront-ils responsabilité
Pour empêcher notre monde de se détruire demain
Qu’ils cessent leur attachement au profit certain et malsain
En brulant l’énergie avec l’immunité néfaste du progrès
Vous les politiciens arrêter de lier politique et croissance
Offrez à vos citoyens de consommer moins mais mieux
Faites stopper toutes productions de tout us calamiteux
Celles qui détériorent sans vergogne notre future aisance
Vous ne serez alors les concepteurs de notre destruction
Pour cela vous ne ferez plus la course à la croissance douteuse
Nous évitant l’obligation de solutions drastiques et tueuses
Nous vous demandons de repenser l’économie, unique solution
Humains de bon sens, réveillez vous avant que ne soit chaos
Déjà a sonné l’heure de la rupture, quand seles espèces vivantes
De partout disparaissent, affamés les refugiés prennent vacances
Des plaines désertifies, demain combien ! Victime du manque d’eau
Mon dernier cri, combien faudra t’il attendre d’autres Katrina
Pour se réveiller, ne plus rêver enfin et croire que le destin
Nous ne pouvons le prendre en main pour nous offrir le sain
Alors arrêtons la consommation délétère, évitons-nous la mort
Quel héritage pour nos enfants du futur, riches ou pauvres
Ô Disparus, votre égoïsme avait-il xe droit de nuire à vie nouvelle
☼ƑƇ