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Fleurs de poésie
18 mars 2013

Ô qui suis-je

3picardie1024

 

 

 

 

 

 

 

J’ai voyage goulument  sur mon temps

Dans la sécurité de ne savoir le  Satan

De qui suis-je, le visage dans ma glace

Je n’ose me reconnaître, suis-je à ma place

Ma voix dans ce bastringue à qui est-elle

Aussi pourquoi est-ce si peu mon naturel

 

Ma pensée se soulève dans mon pourquoi

En quoi cela peut me changer si je sais quoi

Que fais-je là pour m’embarrasser d’une vie

Cela doit être de la sensée  nature une folie

Aussi qu’ai-je à me  poser autant de question

Sur ce fait d’être ici, oh feinte de la dérision

 

Je me laisse m’écouter, tu n’es pas en sécurité

Tu as peur de ton corps que t’a-t-il sitôt fait

Pour que tu viennes à ne plus l’aimer, soit !

Tu fus bien heureux qu’il te mène sous son toit

Heureux dans ces temps où le bonheur te combla

Et maintenant tu bats de l’aile, oh  tu n’agoniseras

 

Pardon mon esprit que dis tu, tu ne veux te fatiguer

Mais laisse-moi me dire que je veux m’ignorer

N’être que qu’un être vivant sans savoir

Pourtant tu m’avais dit la connaissance est devoir

Mais  le nul est plus fort que le plus nul

A quoi me servira l’encor plus, si  rien ne m’émule

 

Alors mon âme me voilà souffrant d’un malaise

Comment faire pour croire, la vie est-elle fadaise

Je gis maintenant dans la fournaise de la peine

De n’avoir servi à rien, de n’être que chair sans haine

Qui voyage sur le temps, sur l’éternité, elle me nargue :

Le hasard t’a déposé mais moi ton retour je me  targue ….

 

Mon esprit chiffonnié ne voulut me laissé le clair

Tu espérais, tu croyais, tu prévoyais, non trop tête en l’air

Cela t’apprendra de crier l’athéisme, la résurrection !

Ne rêve plus ce ne sera pour toi une infaillible  solution

Oui je sais même mon expérience n’est plus de mise

Mais mon âme, mon esprit ne craignez je ne ferai  bêtises

 

J’attendrai dans ma souffrance, être le rien d’un rien

Qui circule dans le bien qu’il lui reste comme un sien

Les petits bonheurs que la vie offre à chaque être

Je ne chercherai plus qui suis-je, même le paraître

Néant du profond  néant, passant virtuel sans aile

Pour ne pas voler loin de son petit bonheur fidèle

Nous prenons chaque jour un chemin inconnu

Mais la vie reste têtue pour nous conduire bon élu

Ô inattendu, malheur ou bonheur restez  entretenus

☼₣€

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