Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Fleurs de poésie
27 novembre 2013

La bête singulière

monstre animal2013-11-27_104003

 

Les mots se distillent; comprendre

Comme Les oiseaux qui volent

Mais ne savent le où aller; comprendre

Il est langage précis qui sonne faux

Et ne vous laisse trouver votre voie

 

Sur des terres on se veut aller; marcher

Comme ce bel éléphant qui cherche

Savanes  accessibles  qui le laisseront marcher

Là  où il trouvera la manne nourricière

Pour lui permettre de vivre en ce monde

 

Les parfums s’élèvent  vers les cieux; sentir

Mais une hyène  déçue par les odeurs

Ne trouve proie qui lui permet de sentir

Que son avenir écorchera son instinct

Quand souffrir famine lui est imposé

 

Un regard se faufile  clair; voir

Mais une chauve-souris ne peut

Dans le jour,   accaparer le voir

Quand elle se pend au fond de la nuit

Incapable de disposer du chemin de lumière

 

Serai-je  une bête  dépourvue

De tout instinct primaire

Qui ne saurait plus

Défendre son maintien

Dans cette jungle humaine

Elle ne vous laisse plus

Dans les espaces lumineux

Marcher, voir, sentir, comprendre

Ce monde  bestial qui tue

Le fond d’intelligence de l’humain

 

Es-tu intelligence pour traverser vie

Ancré à tous les désirs  primitifs

Qui me permettent de réclamer

Le ce dont  est mon besoin

Qui se doit d’être satisfait

Sans qu’aucune retenue

Ne vienne  persifleuse le troubler

De  par ce monde des pouvoirs

 

 

Celui que l’on dit : Humains du savoir

Sensible à ce  tout de leur monde

Le voir, sentir, marcher, comprendre

Qui ne leurs posent aucune difficulté

Tant ils en sont les dépositaires

Alors il est qu’instinct morfale crie

Sa faim  de la vie, de la liberté

Aussi  moi la bête singulière

Je voudrai dévorer le pouvoir

Cette proie  qui se cache derrière

Forêts de  leurs  grands privilèges

☼ƇƑ

 

 

Publicité
Commentaires
Fleurs de poésie
Publicité
Archives
Publicité