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Fleurs de poésie
11 juillet 2014

le feu s"éteint comme douleur

douleur-2014-07-10_193429

 

Un pic d'aiguille accoste mon corps

Le naufrage endolorit mon ardeur

Et mes dents écrase ma soumission

 

Le mal voyage  sa révolution

sur le transport  de la terreur

je hurle fort le  toujours et encore

 

Ma respiration soudain se tord

Elle me laisse cracher l'odeur

De ma souffrance d'oppression

 

Mon esprit est violente déraison

il suffoque , ma plainte crie malheur

sur le lit d'une  mort  qui l'endort

 

Le cauchemar de ma nuit alors

Me laisse glisser vers le bonheur

Dort! Mon esprit dort , il est solution

 

J'entend serpenter  ma juste raison

Et le feu s'éteint comme  ma douleur

Ô douceur je revis d'effusions

ŦC

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